Arrivé en début d’après-midi, la mise à l’eau est rapide, Le Major vite préparé et en plus il fait beau, y’a plus qu’à aller se dégourdir les jambes sur l’eau (mais oui mon gros bêta, s’il n’en n’avait pas, il ne marcherait pas !).
A la nuit tombée (17h00, la soirée va être longue !) je vais squatter une place au ponton.
J’ai juste à enjamber le portillon d’accès car je n’ai pas la clé, enfin j’ai un peu oublié de payer la redevance à l’Office de Tourisme, bref c’est comme d’habitude !
Franchement je n’aurai pas pu faire météorologue, ces gens sont beaucoup trop pessimistes.
Le reste de mon séjour est top, une ou deux fois un peu de crachin, des températures ne descendant pas en dessous de -5 °C et pas de neige (dommage !).
Quand il pleut je suis au chaud dans mon Jumpy presqu’aussi bien aménagé que mon bateau, avec le chauffage en plus car comme je suis un « Jean du voyage », je squatte aussi l’électricité publique (c’est pas bien !).
Mercredi matin, en concertation avec Le Major entièrement gelé et un vent d’au moins 0.1 nœud, je décide d’aller visiter l’Ile de Vassivière en kayak. L’après-midi est consacré à vider la batterie du moteur électrique du club lors d’une balade de quelques heures, avant de reprendre la route du retour.
Bon à savoir:
Le lac de Vassivière est un lac artificiel de 9,76 km2 (c'est grand)
Au mois de Novembre, etonnament il n'y a personne qui navigue (c'est triste)
Il faut contacter l’Office de Tourisme pour récupérer la clé d’accès aux pontons et payer les 10€ par nuitée (c’est ce que je ferai un jour, promis)
Le vent peut être très changeant, avec parfois un effet « venturi » (c’est sportif)
Il faut choisir un autre mois que Novembre (c’est mieux)