Le Major était un peu en avance par rapport à Valentine IV et Vincent signalait qu’il avait rencontré notre ami Jean-Luc G. en train de s'amuser au large sur son bateau.
Jean-Luc a, gentiment, tiré le Major pour passer le pont. David et Niky ont eux démarré le moteur, avant de hisser les voiles pour rejoindre Vincent et Babeth sur la plage de Rivedoux.
Maintenant très chaud ! Nos aventuriers ont mangé leurs repas à l’ombre de leurs voiles et reposé leurs épaules ! Avec ces conditions sublimes, c’était un moment extrêmement agréable !
Avec un peu de brise les deux bateaux sont repartis vers la Flotte.
Encore besoin de ramer, encore très chaud, mais avec, de temps en temps, une brise aidante, ils sont arrivés dans le port de la Flotte.
Daniel arrivait pour nous saluer. Il avait aussi Serge, qui est arrivé comme chauffeur pour Babeth qui voulait rentrer chez elle pour la nuit.
Après les bières obligatoires et les douches, aussi importantes, David, Niky et Vincent se sont trouvés à table pour diner en face de la mer. Et puis, au lit de bonne heure, tout le monde étant fatigué !
C’est là que le cauchemar arrive! A peine installés sur leurs bateaux, un bar sur le quai démarrait une soirée musicale : un bruit infernal, qui a duré jusqu’à deux heures du matin ! Impossible de dormir !
Vers cinq heures (du matin of course) un groupe d’hommes, sans doute ivres, est arrivé sur le quai, très proches à nos bateaux, pour passer une heure et demie à discuter bruyamment. Encore impossible de dormir !
Voilà, les trois matelots, hyper-fatigués, se sont levés, ont petit-déjeuné, pour quitter le port vers 7h00. Il avait un ciel bien gris, une température plus fraîche que la veille, mais avec un bon vent de NE, donc parfait pour aller vers le pont.
En prenant l’avantage de ces conditions, les deux bateaux ont suivi une bonne trajectoire, rapide jusqu’au pont, où, comme par hasard, le vent tournait vers l’Ouest : encore l’idéal pour pousser les canots autour du port de commerce et puis vers notre cale. Quelques deux heures et demie pour la rentrée, pas mal.
Une pause-café dans le hangar, avec Babeth (qui avait bien dormi chez elle !!!!), avant de repartir, pour des siestes bien méritées.